suite et fin de la balade parisienne
Nos pieds commencent à se fatiguer mais nous persévérons.
Après les jardins des Tuileries nous remontons la rue de Rivoli. Les magasins sous les arcades ne méritent plus de photos.
A la place des beaux magasins, maintenant que des bazards à touristes. Nous profitons quand même de l'ombre apportée par les arcades.
Nous arrivons à la place Royale et donc au Palais Royal avec les célèbres colonnes de Buren.
L'installation est faite de marbre de Carrare et de marbre noir et blanc des Pyrénées. Construites en 1986, ces colonnes ont subi bien des dommages car la chape de béton était de mauvaise qualité et donc des infiltrations d'eau se sont produites dans les locaux que possèdent la Comédie Française.
Le coût de la restauration est estimé à 3,2 millions d'euros (coût final 5,8 millions) pour les colonnes seules, et doit entrer dans un plan plus large de travaux du Palais-Royal de 14 millions d'euros sur la période 2007-2011 mais qui est alors non budgétisé.
On trouve toujours de l'argent quand on veut bien en trouver !!!
Les fontaines à boules de Pol Bury. Les deux fontaines horizontales à boules métalliques, lentement mobiles, de Pol Bury furent placées en 1985 sur le parvis de la cour d'Orléans, entre le Conseil constitutionnel et le ministère de la Culture à Paris
Direction l'Hôtel de Ville de Paris, regard sur la tour St Jacques au passage.
La tour Saint-Jacques est un édifice isolé, dressé au milieu du square qui porte son nom. Clocher de style gothique flamboyant érigé entre 1509 et 1523, la tour Saint-Jacques constitue le seul vestige de l'église Saint-Jacques-de-la-Boucherie construite au XVIe siècle et détruite en 1797. Ce sanctuaire était le point de rassemblement et de départ sur la via Turonensis (ou voie de Tours) du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. (source internet)
Depuis 1357, l’Hôtel de Ville de Paris est le siège de la municipalité parisienne. Le bâtiment actuel, de style néo renaissance, a été reconstruit par les architectes Théodore Ballu et Edouard Deperthes à l'emplacement de l'ancien Hôtel de Ville, incendié pendant le Commune de Paris en 1871.
Pas le temps de visiter ce très bel édifice, mais un autre jour peut être.
Nous quittons à regret cet endroit mais le train n'attend pas et il faut encore se coltiner les couloirs du métro.